Je hais les soldes ! Oui, c’est nouveau. Ces quelques semaines durant lesquelles on peut s’offrir une sacoche Marc Jacobs sans vider son PEL sont devenues ma hantise. Avant j’adorais ça, mais cette année, tout a changé : j’ai plus de sous donc je déteste les soldes. Non mais sérieusement, pour une acheteuse repentie comme moi, cette période c’est l’horreur ! Déjà qu’en temps normal, résister à l’appel du shopping, c’est difficile mais alors tenir quand tout est à moitié prix : c’est carrément l’angoisse !
 |
| By Soledad |
Et entre les impudiques qui partagent sans complexe leurs dernières acquisitions sur Facebook et tes copines qui t’appellent pour t’inviter à les accompagner chez Sandro… C’est la déprime ! J’ai été à la limite de couper Internet, détruire mon BlackBerry ou découper ma carte bleue.
Cet après-midi, j’ai été contrainte et forcée d’entrer dans un centre commercial. En passant les portes j’ai tout de suite prévenu mon copain : « On ne met pas les pieds dans UNE seule boutique ». 3 secondes plus tard, le programme a changé. Ok, j’ai craqué devant la vitrine d’André. Mais c’est parce que je me suis rappelé des superbes bottes en daim noires que j’avais essayées à Nice y’a deux semaines. (Trop belles, mais trop chères. Enfin avant les Soldes !) Oui ok, j’ai tenu 3 secondes, mais bon passons. J’entre, j’enjambe une gamine qui essaye des ballerines affreuses et deux blondes qui se battent pour des escarpins cloutés. Et ouai, c’est aussi ça les soldes. Et miracle, elles sont là mes petites chéries à -50%, c’est-à-dire 59 euros au lieu de 119, autant dire une broutille. Je demande ma taille le sourire aux lèvres et là c’est le drame : la vendeuse revient les mains vides. Même le patron du magasin a compati à ma douleur. Et oui, mon ami, elles auraient été parfaites à mes pieds!
Cet après-midi, j’ai été contrainte et forcée d’entrer dans un centre commercial. En passant les portes j’ai tout de suite prévenu mon copain : « On ne met pas les pieds dans UNE seule boutique ». 3 secondes plus tard, le programme a changé. Ok, j’ai craqué devant la vitrine d’André. Mais c’est parce que je me suis rappelé des superbes bottes en daim noires que j’avais essayées à Nice y’a deux semaines. (Trop belles, mais trop chères. Enfin avant les Soldes !) Oui ok, j’ai tenu 3 secondes, mais bon passons. J’entre, j’enjambe une gamine qui essaye des ballerines affreuses et deux blondes qui se battent pour des escarpins cloutés. Et ouai, c’est aussi ça les soldes. Et miracle, elles sont là mes petites chéries à -50%, c’est-à-dire 59 euros au lieu de 119, autant dire une broutille. Je demande ma taille le sourire aux lèvres et là c’est le drame : la vendeuse revient les mains vides. Même le patron du magasin a compati à ma douleur. Et oui, mon ami, elles auraient été parfaites à mes pieds!
Je me dis que je suis peut-être maudite parce qu’à Londres, j’avais déjà vécu un coup dur. À quelques jours des soldes, j’avais repéré un jean blanc chez Zara. Et là, rebelote : épuisé. Alors non loin d'être dérouragée je vais fouiner dans les jeans soldés, j’en trouve un parfait à 9,9 pds. J’arrive à la caisse et là il passe à 39 pds. « Désolée mademoiselle, c’est une erreur d’étiquetage. C’est un jean de la nouvelle collection ». F**K OFF ! Comme le jour où un vendeur d’Abercrombie & Fitch m’a assuré que mon pull à capuche favori serait soldé à -50%. Que dalle ! Y’a pas de réductions chez les pros du survet' en coton!
Je me dis que c’est peut-être une malédiction…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire